Filtre grain de l’ivraie belle âme forte prolonger
(Poème écrit en Alexandrin sous forme de sonnet Shakespearien. Voir traduction ici)
23 février 2017

Un beau soleil glacial régnant sur la plaine
Le chant doux des oiseaux bénissant mes émois
La fin d’une ère martiale où douleur est souveraine
Fruit de mes oripeaux à appendre dans les bois
Je cherchais impartiale un monde qu’ils balancèrent
Les hordes des nuits noires et les torches blanches des jours
Stabilité égale entre ombre et lumière
Je vis monde balançoire qui signe mes alentours
Le sens des univers prend le sens des poussières
Lors de ces analyses plongeant en soi interne
De levant en devers suivant cours des rivières
Parfois deltas s’enlisent en absence de lanterne
Survie n’est pas vie vraie l’instinct est à changer
Filtre grain de l’ivraie belle âme forte prolonger
Lecture du poème:
Claude Debussy : Clair de Lune, for Piano (Suite Bergamasque No. 3), L. 75/3