Sindbad, fleur moderne

Senteurs de douleurs, fleurs mal cueillies

Relent de serpe taillant à vif mal infléchi

30 septembre 2010

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Mon pauvre amour, mon amour de tête de cœur

Lui, regarde dans les moindres recoins de laideur

Et voit partout la beauté, l’élégance et la douceur

Quelles illusions mon âme miroite-t-elle en fleur ?

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Tour à tour Lys, Violette, Rose, Jasmin ou Pissenlit

Fleur d’amour ou fleur de bête, hachée, vite finie

Fleur de tête, si peu digeste, fleur au poison infini

Douleur en fleur, fleur de cœur, de déni et d’oubli

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Lui, regarde dans les moindres recoins de laideur

Cherche éperdu, Sindbad moderne en cent pleurs

Quelles illusions mon âme miroite-t-elle en fleur ?

Pour qu’une vie passe écorchée, fleur de douleur

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Fleur d’amour ou fleur de bête, hachée, vite finie

Douleur égare ce cœur de pleurs de mer, ce Djinni

Douleur en fleur, fleur de cœur, de déni et d’oubli

Oubli de siècles porté par mille mots, aujourd’hui

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Cherche éperdu, Sindbad moderne en cent pleurs

Les sirènes telles les murènes te donnent senteur

Pour qu’une vie passe écorchée, fleur de douleur

A la recherche des mille ivresses, fleur de malheur

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Douleur égare ce cœur de pleurs de mer, ce Djinni

Oubli en cœur, de douleur bat, de retraite en repli

Oubli de siècles porté par mille mots, aujourd’hui

Fleur pulsant, rouge sang, vie vidée, senteur finie

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Les sirènes telles les murènes te donnent senteur

Acres traces, pas rances infertiles, nés de rancœur

A la recherche des mille ivresses, fleur de malheur

S’égare tant, en labyrinthe alambiqué de bonheur

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Oubli en cœur, de douleur bat, de retraite en repli

Prudence Hortense, senteur de cœur s’il s’extasie

Fleur pulsant, rouge sang, vie vidée, senteur finie

Pétales à terre, jour fini en nuit, noire et meurtrie

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Lecture de mon poème

http://www.youtube.com/watch?v=6oLoonR2ctI

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