L’irrésolue
20 janvier 2012
Les matins chagrins s’écoulent sans pleurs
Dans un silence morne où l’ennui se danse
L’œil sec s’habitue au décompte des heures
Lourd est l’esprit émergeant d’une transe
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Dans un silence morne où l’ennui se danse
Le son d’un tambour ne cesse de vibrer
Lourd est l’esprit émergeant d’une transe
Le cœur battant cherche à s’équilibrer
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Le son d’un tambour ne cesse de vibrer
Diapason en gorge lui crée étendue
Le cœur battant cherche à s’équilibrer
Dans mon âme il bat mille nuits trop ardues
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Diapason en gorge lui crée étendue
Un lac stérile gît en mon cœur glacé
Dans mon âme il bat mille nuits trop ardues
D’un souvenir d’antan d’esprit déplacé
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Un lac stérile gît en mon cœur glacé
De douleur méprisée j’ai âme en peine
D’un souvenir d’antan d’esprit déplacé
D’une vie dont l’essor le destin freine
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De douleur méprisée j’ai âme en peine
Toi et moi comme nous rêvions amoureux !
D’une vie dont l’essor le destin freine
L’instant n’est propice aux élans fougueux
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Toi et moi comme nous rêvions amoureux !
A une vie nourrie de moments d’extase
L’instant n’est propice aux élans fougueux
Nos cœurs désunis revivent métastases
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A une vie nourrie de moments d’extase
Levons nos verres dans une soif d’absolu
Nos cœurs désunis revivent métastases
Entre nos corps s’étire l’irrésolue
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Levons nos verres dans une soif d’absolu
Demain encore nous feindrons la liesse
Entre nos corps s’étire l’irrésolue
Sibylline elle chuchote que rien ne presse
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Demain encore nous feindrons la liesse
Pour celle qui se pare d’un voile de douceur
Sibylline elle chuchote que rien ne presse
Les matins chagrins s’écoulent sans pleurs
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