Fête y est une loi

Fête y est une loi

4 février 2011

 

Je sais fils messies font rais villa pourrie

Jeu fécond mande alias scelle sort

…Vois, je trace cent murs des génies remords

Fi ! Eve danse coule simule rame comme contre route repli

Ris du Geais qu’on bat vint le soir sur émoi

Hélas, pour que même cieux chatoient noble sève

Il tète foi tout faux

En mourra quand trop lit

Son sol qu’on foule roi mordant le dé am

Deux du phare des eaux qu’on héla rajoute adieux

Terre assassinée

Quelque long fleuve même honnie

Je te longerai voyant

Sang frais sire renie mort

Je fécondais frêle âme alias ne m’endort

Berger malade hélait pour maison ravie

 

Décalcomaxi de

 

Ile est taie une foi (par Max Kesteloot –  4 février 2011)

 

Si je fais de mes fils la raison pour la vie

Je ne fais qu’en dahlias le caisson de ma mort

Je vois tracer des murs sans gémir ni ressort

Dans ma fièvre sang circule mon drame, tout est accompli

J’ai du rire, un soir c’est sûr, le combat qui me va

C’est las, que pour toi, mon essieu blême s’achève

Toutefois il te faut

Quand mourra l’entropie

Qu’on défoule mon sort dans le sol  armoirie

Et qu’on farde mes eaux de la joute du radieux

Ainsi terrassé

Que l’on me fleuve, que l’on me nie

Je voyagerai longtemps

Sans frémir ni ressort

Je n’ai fais qu’en dahlias le reflet de ma mort

Mais gerbé le désir, ma raison pour la vie

 

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