10 février 2011
Marasmes n’y tuent soir
Ses lenteurs de banc fruit d’ode
Que l’astre geint me fêle des veines cimes émeraudes
Je rouvrirai étoile d’un gémeau tant cire image
Age te rallie minuscule
J’aime l’avoue table aigre sur nous m’acidule
Murs arcs sangs qu’aux anges y vois feuler
Je tarderai date l’ombre d’if ère d’âge m’ont ôté
Un python exhale serin de la voie jure
Freiner pâlira décale de nuit de l’âme certifiée
Les pluies m’appartiennent mes quêtes plans feront jeu du rai naître
Tombes raides hors Ozone ma terre ébène fleurie
Pied des lacs la larme accuse doute scelle heures terrestres
Clins sûrs glaneront-ils histoire
Amantes discriminatoires étêtent en mers nues têtes tendront
Les cordes à l’eau m’aidant des ressacs de troncs
Si venir du dessus m’est l’anobli des mariages
Psychose de vie agitateur métissage
Naître jarre de lune libère de lien
Ô sortilèges des pleurs florins
Décalcomaxi de
Jardins (Max Kesteloot)
Tu fantasmeras miroir
Dans les senteurs de bruit fraude
Que le glaive astral me feinte de reine et de mers chaudes
Tes ronces yeux lovés sanctifieront mes rivages
D’un maure toilé qui jouira les temps, cierge mage
Tel un Mirail en majuscule
J’aimerai sur ta vague où le sable adouci m’annule
Archange sans fureur mis chaos et voilé
J’errerai tardif le monde ombrageux de ta beauté
Un typhon exaltera de sa voix l’injure
Aliéné par les fruits de tes larmes sanctifiées..
Les rimes que je pleurai ne m’appartiendront plus dans tes fenêtres
Trombones de ténèbres au fort de la raison meurtrie
Des lacustres piétées ou maculera l’ardeur céleste
Scintilleront sur ta gloire
Et mes discrètes harmonies en mains têtues t’attendriront
Alors s’accordera dans le désert de mes joncs
La sublimation du devenir et des mirages.
ô châle aviateur, ô mystique ode, gypsy sage
Eternel lien de lunes libres de jardins
ô florilège des pleurs satins !
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