31 janvier 2011
Vagues crimes détresse de poule râleuse à l’eau
Elle maigre quille rente coq cadeau de dard
Mesure nulle aux dames ramerait de soir
Ancres jetés baignent rires l’arme rend plume âge
Des mois âme boire, détour vit vaste cime y terre
Et erre face de l’être met bas eau de tonnerre
Lune change sœur ment fermer nuit-il du mort pare hêtre
D’Inde en Croatie en faire franges et Afrique git
Cent cils ici durent mieux vitamines y tendraient sans ce
Pie accroche sans ex ni jarre ce cabaret nœud mondain
Ode érection se méfier de rire bas aux récessifs
Ce Kabyle ivre excitable qui du vrai méthane se ferre
Crie ami, vends rai redis-je, paix quiète jetée dèche teint maux
Décalcomaxi de
Amer tissage final…. (Max Kesteloot)
Cris de vagues maîtresses, rouleuses de palots
Effluves de moi fleurs salées au corps d’eau
Migre dentelle de radeaux, coquille d’art
Nulle démesure mais âme aux rames de rasoir
Baigneront larmes jetées encres, pures, écrire plus mage
Tu ouïras d’émois, amour déboire, vivace cimeterre
Effaceur de mes lettres au bas de ton parterre
Nulle nuit mais changement, fertiliseur, mort du paraître
Fric, stratégie, naufrages ! Enfer dindoncratie !
Silicium de vies miniatures, tendres cendres de l’’Essence
Sans anicroche cabane expiera mon secret jardin
Résurrection de mes récits au bas de fiers récifs
Cabane du vivre, table exquise, livres sur méta sphère
Je t’écris… Raie…un Vendredi ..
T’inquiète ami, je pêcherai des mots.
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