J’ai mémoire d’une chanson fredonnée en histoire
(poème écrit sous forme de sonnet Shakespearien en vers Alexandrin, traduit en anglais ici)
10 décembre 2016

Au-delà de ces mots résonne pâle l’intention
De mesure démesure en vase clos d’atrophie
Taille à vif dans ces maux de douleur l’attention
En deçà de l’usure veine assure embolie
Reste-t-il dans ces prés des chevaux à nourrir ?
Les barrières ruminant tas de foin à cracher
Vouent au ciel les cyprès pris au fait à pourrir
Vois ces arbres nonchalants de hauteur s’arracher
Abrités dans sapin oiseaux tardent à mourir
Justes cieux balayant horizons intrépides
Senteurs froides d’un matin lèvres gercées s’ouvrir
Un chemin déblayant des non-dits insipides
J’ai mémoire d’une chanson fredonnée en histoire
D’émérite de pardon filant droit en déboire
Lecture du poème:

Ostanus – 312